versus#5 & malédiction

... en kiosque le 17




de plus...:

"Notons que suite à des problèmes sur le nom Versus, le magazine sera contraint de changer de nom dans le mois qui viennent.
Explication avec un extrait de l'édito. Esperons que cela ne porte pas tort à cet excellent mag !

"Autre sujet : chez Versus nous sommes des gens chanceux. Nous vous épargnerons le détail de nos multiples déboires avec les imprimeries depuis nos débuts, pour vous faire part d’un problème qui vous concerne davantage… Dans quelques mois, ce magazine sera rebaptisé. Pourquoi ? La raison est bien simple : le très célèbre prozine cinéma Versus souhaite nous assigner en justice. Quoi ? Vous n’avez jamais entendu parler de cette magnifique revue ? Nous non plus, avant de recevoir un sympathique courrier d’avocat. Distribué en Fnac depuis quelques années, cet autre Versus traite donc de cinéma – ce qui explique la disparition récente de notre rubrique ciné/DVD – et estime que nous lui causons du tort. De quel type? Mystère. En quoi un magazine rock distribué dans un réseau différent peut-il gêner ces gens-là qui – c’est à préciser – n’ont même pas accepté de nous rencontrer pour en discuter. Ça ressemble à un mauvais film ? Un Michael Bay par exemple...
De notre côté, tout a été fait dans les règles : dépôt du nom, etc. Et si les individus derrière l’association éditrice de cette publication n’ont même pas pris, eux, la peine de faire cette simple démarche, ils prétextent aujourd’hui une antériorité d’utilisation du nom Versus pour nous envoyer leur avocat. Que faire ? Aller vers un procès que nous pourrions gagner ? Malheureusement nous ne sommes pas en mesure actuellement de dépenser de l’argent en frais de justice, le magazine n’a pas encore fêté sa première année d’existence, nous ne roulons pas sur l’or, et nos moyens actuels sont utilisés à un seul escient : faire vivre ce magazine, car bien des choses restent à faire. Rendez-vous donc dans deux mois pour de plus amples précisions sur cette histoire. En attendant, bonne lecture de ce numéro 5. En espérant qu’une météorite ne se crashe pas sur nos bureaux d’ici là.

Olivier Drago & Emmanuel Guinot."